Candidature de Freng au titre de marquis

Je pense avoir oeuvré suffisamment longtemps et ce autant quantitativement que qualitativement.

Je vais vous mettre donc mon cursus.

J'ai ouvré en politique depuis le vingt-deux janvier 1457.

J'ai commencé mon cursus en tant que sénateur à la justice. Nous étions partis à cinq dans ce mandat et je fus l'un des trois à rester jusqu'au bout.
Dans ce mandat-là, nous avions dû subir une sorte de révolte du Prime Consul du moment. Nous étions trois et avions fait front. A ce moment, j'ai découvert que notre constitution n'était pas valable.
Alors immédiatement une commission avait été formée pour régler la question.
J'ai donc participé à la seconde constitution sénatoriale de la République - la plus connue - en faisant le plus possible avec les moyens que j'avais.

Au second mandat, j'ai été sénateur au commerce. A ce moment-là, certains citoyens entendaient faire la loy. Mais je m'y étais fortement opposé. Leur peu de détermination avait été marqué par le fait qu'il n'y avait pas eu de suite.

Au troisième mandat, j'ai été Président du Sénat. Alors j'avais dû maintenir un peu d'ordre au sénat car le propos n'étaient pas correctes.

Au quatrième mandat, j'ai à nouveau été sénateur à la justice. C'est à ce mandat-là que nous avons changé le CCP pour faire deux tribunaux, un codex économique, l'institution d'un doyen, une loy sur l'accès aux archives et quantité de réformes. Les autres mandats dès le second il y avait eu quantité de travaille, mais celui-ci fut le plus actif.

Au cinquième mandat, j'étais à la justice. A ce moment-là nous avons refait le CPP et avons fait un code pénal. Et nous avons aussi préparé la constitution des Pères.

Au sixième mandat, j'ai été le Président du Sénat. A ce moment-là, nous avons fait passer au vote. Il y avait deux choix. La constitution que j'avais écrite avait été plébiscité, une large majorité était en faveur de ce texte.

Je suis devenue Doyen - à ce moment j'ai fait le panneau d'entrée. Et c'est pourquoi nous avons le plus beau panneau d'affichage de la confédération.
J'ai aussi créé des archives de la halle. Et j'ai archivé un millier de messages à la main. Et ce sans compter tous les papiers qui traînaient quand je suis arrivé en fonction.

Puis j'ai été Père. Au premier mandat, n'ayant plus de pouvoir exécutif, j'ai fait des loys, réformés des anciennes. Cela se poursuit sur plusieurs mandats. J'ai réformé durant ce temps trois ou quatre fois le CP, autant de fois le Codex économique, une fois la constitution - instauration des Fils -, projet de loi confédéral qui n'a pas aboutit à cause d'événements contraire aux travails.

Et maintenant je participe encore autant que je le peux.


Ceci était pour ma participation politique.

Ma carrière à l'armée maintenant.
J'ai d'abord été soldat vers octobre 1456. Puis je suis rapidement devenur maître d'arme et sergent instructeur. J'ai survécu à toutes les refontes de l'armée - il y en a eu quatre ou cinq. Puis j'ai été sergent du bataillon de Morgarten, puis lieutenent pour en arriver au grade de Lieutenant-Général.
Pendant ce temps j'ai occupé la fonction de médicastre où j'ai pu sauver la vie du Général du moment.
Et je suis couturier. J'ai entièrement refait les uniformes - je les ai refait quatre ou cinq fois - et ils n'ont jamais été aussi beau - remarque peu surprenante de ma part.

J'ai aussi participé à l'école Pandidasque dont j'ai été le directeur adjoint.
J'ai écrit dans la gazette de Lausanne.
J'ai été le Maître Marchand au sein de la CHC (compagnie helvète de commerce).
J'ai tué avec d'autres le monstre du lac Raitalasse, une gravure témoigne de l'exploit.

Et c'est donc pour cela que je pense pouvoir prétendre devenir Marquis.